J'arrive au lycée, je me dirige directement à mon casier pour prendre un cahier que j'avais oublié, lorsque j'ouvre mon casier, une lettre tombe, elle a un cœur dessiné dessus, je regarde autour de moi et remarque que Gedou, celui que j'aime le plus, me regarde et me sourit, je lui fait un sourire bancal en retour, c'est une lettre d'amour ? Pourquoi il m'aimerait moi ? J'arrête de me poser des questions et je commence à ouvrir la lettre.

 

'' Je t'ai toujours trouvée magnifique,j'hésitais à t'avouer mes sentiments mais j'ai remarqué que tu me regardais depuis quelques temps, j'ai donc prit mon courage à deux mains et je t'écris cette lettre pour te dire Je t'aime j'espère que j'ai bien compris et que mes sentiments sont réciproques.''

 

Mon cœur bat la chamade, je regarde l'auteur de la lettre, il me sourit en voyant que je viens de la lire. Il s'approche de moi.

 

« Salut, je vois que tu as lu ma lettre.

-Oui....euh....je....

-Est-ce que tu ressens la même chose ?

-Euh....oui...

-Génial ! J'avais peur que tu me trouves bizarre de t'écrire ce genre de lettre. »

 

Puis on va dans notre classe.

 

Plusieurs semaines passent, on apprend à mieux se connaître, on fait des rendez- vous. Après un mois et demi, je l'invite chez moi. Il rentre chez moi, une maison basique avec des meubles basiques, je me sens un peu ridicule mais il n'a pas l'air de vouloir me faire de commentaire à ce sujet, je lui fait une sorte de visite de ma maison, je l'amène dans ma chambre, on s'assoie sur mon lit, on parle pendant dix minutes puis il se penche vers moi pour m'embrasser,mon premier baiser, après un mois et demi, certaines personnes pourront dire que c'est un peu tard et que c'est normal mais je n'ai jamais été vraiment très forte pour ce genre de chose.

 

Il me murmure : «  Je t’aimerai toujours. »

 

Je rougis, il touche la clef que je porte toujours en collier.

 

« Elle te sert à quoi cette clef ?

-C'est.... c'est personnel...

-On est en couple, tu peux bien me le dire non ?

-Oui mais...non...c'est...compliqué.

-Allez, je le dirais à personne. Promis !

-D-D'accord.

-Merci, ça fait plaisir de savoir que tu me fais confiance.

-C'est... une longue histoire...

-C'est pas grave, j'ai toute ma vie pour t'écouter.

-Merci... C'est à mes dix ans, ma mère m'a appris que lorsque je suis née, les docteurs ont remarqué que j'avais des organes digestifs différents des autres personnes, ils étaient fais pour ne pouvoir digérer que de la viande.

-Du coup tu manges que de la viande ?

-Oui mais c'est... différents... ma mère aurait préféré ne jamais me le dire mais j'ai commencé à avoir des maux de ventres et à vomir tout ce que je mangeais et... j'ai commencé à vouloir manger... des monstres...

-Sérieux ?!

-Oui... Mais ne t'en fait pas ! Je n'ai plus du tout envie de manger ce genre de chose ! En fait, dès que j'ai parlé à ma mère de mes envies...étranges, elle m'a emmené chez le médecin et il s'est rendu conte que mes organes digestifs étaient fais pour la viande de monstre, c'était comme si j'étais spécialement faite pour le cannibalisme, ma mère a donc été effrayée et a cherché une solution, elle a donc trouvé cette clef et j'ai donc pu manger de la viande et des légumes.

-Oh ! D'accord ! Donc si t'as plus cette clef, tu seras obligée de manger que de la viande de monstre ?

-Oui.

-D'accord ! Bon, je suis fatigué, et si on allait se coucher ?

-Oui, si tu veux. »

 

Puis on va se coucher.

 

C'est le matin, je me réveille avec une sensation étrange. Comme si mon ventre était vide. Je m'assoie sur mon lit et regarde autour de moi pour essayer de trouver Gedou. Je ne le trouve pas, je sors de ma chambre pour essayer de le trouver mais je ne le trouve nul part. Je regarde devant chez moi, il y a ma voisine qui arrose ses plantes comme tous les matins, elle marche, fait bouger ses muscles et sa chaire, sa vieille peau se plisse, elle redresse sa tête vers moi et me regarde d'un air intrigué. Puis je regarde mes pied pour ne pas croiser son regard, gênée. Je remarque quelque chose de liquide à mes pieds, de l'eau ou de la bave, ça ressemble vraiment à de la bave, de la bave, comme le liquide que je viens de remarquer sur mon menton, coulant de mes lèvres, je me rends aussi conte que mon estomac gargouille et qu'en regardant ma voisine, je ressens un sentiment... d’appétit ?

 

Je remarque alors que ma clef a disparue. Je cours donc jusqu'à chez moi. Je ferme la porte à clef et les volets puis je me dirige jusqu'à ma chambre, je m'assois sur mon lit et prend ma tête entre mes bras, faisant tout pour ne pas être tentée de sortir faire de mauvaises choses aux personnes dans la rue. Mon téléphone se met à vibrer, je le regarde, c'est un appel de la part d'un numéro masqué, je le décroche et entend une voix plus que familière :

 

«  Je suis sûr qu'en ce moment, tu te sens très mal. Tu dois certainement être désorientée, perdue, effrayée et te connaissant tu dois être enfermée chez toi.

- Tu- tu m'as prit ma clef ?

-Oh ! Tu t'en es rendu conte !

-Pourquoi tu... Tu m'avais dit qu'on devait se faire confiance.

-Non, j'ai dit qu'un couple devait se faire confiance.

-Oui mais...

-Attend, t'as quand même pas cru qu'on était un couple ! Hahaha ! Tu sais, un couple c'est deux gens qui s'aiment, peut-être que toi tu penses m'aimer mais moi, j'ai jamais ressenti ce genre de chose. »

 

Il raccroche. Je suis perdue. Je me lève. Je sors de ma maison. Je marche dans la rue. J'arrive devant la maison de cet homme. J'ouvre la porte qui n' est pas fermée à clef. Je cherche cet homme. Je le trouve. Il me regarde. Il parle... peut-être ? Je m'avance vers lui. Une main lui traverse le ventre. Elle ressors peu après. Cet homme tombe. Une fille parle :

 

« Je t'aimais. »

 

Puis je sors de la maison de cet homme, du sang coulant de mes lèvres.

 

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Voilà! c'est l'histoire de ma custom Clawdeen que j'ai renommée Shide( ça se prononce shidé ^^)

/!\ Chers gens très très très sensibles, je tiens à vous dire que dans ce texte, il y aura de la torture, bon je ne la décrit pas vraiment et c'est pas non plu des choses trop graves mais bon au moins vous êtes au courant et les gens très très très très sensibles savent qu'ils doivent partir  ( bon c'est vrai qu'il faut vraiment être ultra méga très sensible pour être choqué par ce qu'il y a dans ce texte mais bon on c'est jamais.)

 

Partie 1:Souffrance et douleurs

« Arrêtez ! Arrêtez ! Je vous en supplie ! Pitié arrêtez ça ! »

Des gouttes de sang tombent sur le sol de béton.

L'homme est la femmes continuent de m'écraser les doigts.

Ils découpent aussi des morceaux de ma peau avec un scalpel rouillé, je peux le sentir avec les morceau de métal qui dépassent de l'instrument.

Peut-être qu'ils font exprès d'utiliser un rouiller pour me faire souffrir le plus possible ou alors ils ne font pas exprès.

Ils rient.

Fort.

Ils rient fort.

Fort ! Fort ! Fort !

Ça rentre dans mes oreilles ! Leurs rires !

Ça me détruit de l'intérieur !

C'est horrible ! Horrible ! Horrible !

Si ils rient c'est que ça doit être amusant.

Mais pourtant, ça me fait juste mal.

Très mal.

Horriblement mal.

Est-ce que c'est parce que je n'ai pas d'humour ?

Oui, ça doit être ça.

Je dois rire !

Je dois rire !

Je ris.

 

Partie 2:Rire

Je ris.

Ils me regardent bizarrement.

Bah quoi ?

Si vous étiez en train de rire c'est que c'est drôle non ?

Ils enlèvent leur scalpel.

Ils continuent de me fixer étrangement.

Je continue de rire.

La femme s'énerve.

Elle me frappe.

Je continue de rire.

Elle me frappe.

Me frappe ! Me frappe ! Me frappe !

Des gouttes de sang tombent sur le béton.

Je ris.

Ils en ont assez.

Sans faire exprès la femme coupe les cordes qui me retenaient avec son scalpel.

Je suis libre !

Partie 3:Le jeu continu

Comme ils riaient.

Je m'amuse à faire comme eux.

Avec des scalpels neufs,

Comme j'ai un peu de respect.

Des gouttes de sang coulent sur le béton.

Ils me supplient.

Maintenant ce sont eux qui crient.

Et c'est moi qui ai les instruments.

Je ris.

Je ris.

Je ris.

Ils crient.

Ils meurent....

Déjà....

Partie 4:C'est la fin.... ?

Je sors de la pièce tapissée de sang.

J'espère que les blessures vont guérir.

J'ai un rond de sang tout autour de mon œil droit.

Une cicatrice en forme de cœur sur ma poitrine.

Quelques dents arrachées.

Et une cicatrice dans mon dos.

 

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Et voilà, encore autre chose que le chapitre 7.

Mais bon en ce moment j'ai envie d'écrire des histoires qui parlent d'autre chose que d'une dispute entre deux lycéennes et un amour compliqué, parce qu'il faut le dire, c'est ce qu'il se passe dans ma fic.

Mais sinon, j'éspère que ça vous aura plut et que le fait de parler de torture ( même si je ne décrit pas vraiment la façon dont ils la torture) ne vous aura pas trop dégoûté^^

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Voilà en attendant le prochain chapitre que j'ai déjà commencé à écrire.

Si jamais vous voulez voir d'autres dessins, vous pouvez aller voir mon deviantart en cliquant juste ici.

Bon sinon, je vais de ce pas continuer chapitre sept ^^

(Je vous demanderais aussi de ne pas voler les dessins^^ Un peu de respect pour les gens qui créent des choses^^)

Comme tous les matins depuis que je me suis faite virer j'étais seul chez moi sur mon canapé à attendre je ne savais même pas ce que j'attendais mais j'attendais et je me sentais seul très seul.

(à partir de maintenant c'est plus taralei qui raconte l'histoire)

 

 Cléo était dans le bureau de Mme ST,elle devait ramener à Toralei son dossier scolaire.

Cléo:Vous êtes sûr qu'il faut que ce soit moi?

Mme ST:Oui vous êtes la seul élève qui ne va pas en voyage scolaire.

Cléo:Ok.....

 

Et elle partit vers la maison de Toralei.

 

Point de vue Cléo:

 

Oh,j'en ai marre,c'est pas parce que je suis la seule à ne pas partir en voyage scolaire que je dois lui amener son dossier.Et puis elle pouvait pas le faire toute seule.Ou alors ses parents.

J'avançait dans la rue sombre(pourquoi elle pouvait pas vivre dans une rue moins effrayante)et lorsque j'arrivai à sa maison je sonnais et j'attendis quelques minutes.

Puis une Toralei pas coiffée avec des cernes de 20 mètres sous les yeux vint m'ouvrir, en voyant que c'était moi elle referma vite la porte. Puis je toqua à nouveau.

 

Toralei: Si tu reste j'appelle la police.

 

Sa voix était bizarre. Oh-mon-rat! Toralei était en train de pleurer!

 

Moi: C'est pour te passer ton dossier scolaire.

Toralei:Je m'en fou, je veux plus aller à l'école.

Cléo: ta mère doit vraiment mal t'élever.

Toralei:Crève.

Cléo:Oh ça va, c'est juste pour rire.

Toralei:Si tu veux je peux te faire rejoindre ma mère.

Cléo:Ouais si tu veux.

 

Toralei rit.

 

Toralei:Tu veux la rejoindre avec une hache ou un couteau. Ah moins que tu préférerais la corde.

 

Ow, là je me rendis conte de ma bétise, la mère de Toralei était morte et je l'ai insulté.

 

Cléo:Ta mère est....

Toralei:Enfin, t'es longue à la détente, en même temps ça doit être compliqué avec ton petit cerveau.

Cléo:Bon, tu le prends ton dossier scolaire ou pas?

Toralei:Ouais.

 

Et elle ouvrit la porte pour me prendre le dossier et refermer la porte rapidement.

Point de vue Toralei:

 

Je dois avouer que ça m'avait fait du bien de pouvoir insulter Cléo sur son petit cerveau.

 

 

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 Je suis vraiment désolée pour le temps que ce chapitre a mit à venir.

Mais j'avais vraiment pas d'inspiration et en ce moment je vais déménager alors voilà quoi.

Sinon j'espère que ce chapitre vous aura plut et je vous dit bonne journée ou bonne soirée.

^^

 

 

 

Nom:Deshi(se prononce 'Déshi')

Prénom:Dishe(se prononce 'Dishé')

Age:Inconnue

Race:Inconnue

Fille de:La mort

"défaut"bisarre:Malgrès ses parents elle s'est liée d'amitié avec une déesse(Kime)

Nom:Aucun

Prénom:Kime(se dit Kimé)

Age:100 millènaires

Race:loup garou(et déesse)

Fille de:C'est la fille des prières

"défaut bisarre":Malgrès le fait que ce soit une déesse,elle est devenue amie avec la mort.